MEDIARSON

MANGALAND #1 : THE PROMISED NEVERLAND

 

 

Bonjour à vous jeunes lecteurs et lectrices ! Nous vous accueillons aujourd’hui dans la minute Manga ! Nous vous présenterons pour ce premier article, le manga The Promised Neverland (約束のネバーランド ), écrit par Kainu Shirai et illustré par Posuka Demizu.

 

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Dans The Promised Neverland, nous suivons les aventures de plusieurs enfants

(en particulier le trio de choc Ray, Norman et Emma) qui sont orphelins.

Ils ont passé une grande partie de leur enfance dans cet endroit élevé

par une seule femme qui se s’appelle Isabella. C’est la belle vie n’est-ce pas ?

C’est ce qu’on pourrait croire…Mais des questions se posent : que deviennent

les enfants adoptés ? Et pourquoi est-il interdit de sortir de l’orphelinat ?

Quand on regarde de plus près, on se rend compte qu’il y a quelque chose qui cloche.

Car cet endroit que les enfants appellent maison cache en réalité un monde où

les enfants ne sont que du bétail. Tout au long du scénario, les enfants tenteront

d’échapper à leur préposé destin et de sortir afin de découvrir le monde qui les entoure.

 

A présent, nous allons vous partager nos impressions !

 

Alors, visuellement parlant, les dessins de Posuka Demizu sont très agréables. Le design des personnages, simple voire inégal par moments, est en réalité d'une grande efficacité. On ressent souvent l’expression et les émotions des personnages, avec des attraits physiques propres à eux-même (forme de visage, bouche, mimique…) les rendant facilement reconnaissables. Les dessins sont rarement figés, les personnages très souvent en mouvement, (que ce soit dans leurs gestes ou leurs expressions), contribuent totalement au rythme et à l'emballement.

Les décors sont très sophistiqués, que ce soit l'orphelinat en extérieur comme en intérieur, la forêt, le portail, etc... Posuka Demizu utilise le scénario de Kainu Shirai, les angles de vue sont très réussis, capables de changer très facilement d'atmosphère. La couleur des uniformes des enfants n’est pas hasardeuse non plus, car ils représenteraient l’innocence des enfants qui évoluent dans un univers sombre et noir. En gros, ne vous faites pas de soucis, la lecture du manga sera très agréable pour vous !

 

Le scénario est rempli de questions que l’auteur pose dès le premier tome. Comment de simples enfants vont pouvoir planifier leur évasion pour le monde extérieur ? C’est pour ça que dès le début, nous sommes d’ores et déjà pris par le scénario. Les personnages sont à la fois attachants et mystérieux.The Promised Neverland ne tarde pas à nous emmener dans une atmosphère stressante et délétère, où évolueront nos jeunes protagonistes forcés de faire face à la réalité du monde malgré eux, avec leurs yeux et leurs moyens.

 

Si on se penche sur l’adaptation animée de CloverWorks, The Promised Neverland est un véritable régal esthétiquement parlant, car nous avons le droit à de beaux graphismes, des OST (=Original Soundtrack qui est donc, la bande-son originale de l’anime) qui ne sont pas des moindres et un réel attachement des personnages, de leurs histoires et de leurs points de vue. Au final, The Promised Neverland tourne autour d’une simple question paradoxale : qu’est-ce que la liberté ? Est-ce que la découverte du monde extérieur garantira la réelle liberté ?

 

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Pour en savoir plus sur les péripéties des enfants de Gracefield, nous vous invitons à lire le manga, ou bien à regarder  l’animé !

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Nous vous remercions  d'avoir lu notre premier article, et vous attendons impatiemment pour le prochain manga que nous aurons le plaisir de vous présenter !

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Article rédigé par Assyna Griffith et Margot Pradines

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