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Compte rendu du CA du 04/02/2021
par Clémence G.

Ce premier conseil d'administration de l’année 2021 s’est ouvert avec l’adoption (par le conseil d’administration) du procès-verbal du Conseil du 30 novembre 2020. 

Après cette adoption, le conseil a abordé le premier point de l’ordre du jour: le protocole sanitaire.

 

Le protocole sanitaire 

Depuis le dernier Conseil d'administration, ce protocole a légèrement évolué .

Les nouvelles restrictions sanitaires imposées par le gouvernement prohibant les activités physiques en intérieur, les professeurs d’éducation physique et sportive ont dû réorganiser la pratique de leur discipline. Pour s’adapter tout en dynamisant et motivant les élèves, ils ont organisé des projets en extérieur : challenge collège-lycée.  A l'heure actuelle, cette restriction n'entraîne pas de conséquences quant aux épreuves du baccalauréat dans cette discipline. Mais des problèmes se poseront sur le plan du baccalauréat si elle devait perdurer.

En ce qui concerne la restauration, l'espacement entre les groupes est passé de 1m à 2m. 

 La présence d'un cas du variant anglais dans une classe entraînera la fermeture de la classe. Pour les cas de COVID classique, la classe doit être fermée si 3 cas sont détectés.

Par ailleurs, si l’établissement présente 1 cas du variant anglais ou 3 cas de COVID classique,  un léger durcissement du protocole sanitaire oblige l’établissement à lancer une série de tests antigéniques, avec l'aide de professionnels extérieurs comme les infirmiers libéraux, à tout le personnel de l’établissement et aux élèves . Pour les lycéens, l'établissement demandera une autorisation parentale par pronote (s’ils sont mineurs). 

La campagne test proposée par le gouvernement ne pourra pas avoir lieu faute de personnel pour effectuer le prélèvement en interne. Et le recours à des professionnels extérieurs à l'établissement, s'avèrerait problématique dans la  mesure où il est déjà difficile de trouver ce type de professionnels  lorsque le nombre de cas dans un établissement rend ce dépistage obligatoire. En effet, les infirmiers libéraux sont déjà impliqués dans la campagne de vaccination. 

 

L’alternance présentiel-distanciel reste en place. Comme il n'y a pas eu de baisse significative de la pandémie, les protocoles sanitaires en place ne permettent pas d'accueillir plus d'élèves au sein de la cité scolaire. Cependant, s’il est un jour possible de faire revenir une partie des élèves du lycée en présentiel, l’établissement le fera. Actuellement, les avis sont partagés : il y a quelques temps une majorité désignaient les terminales pour une meilleure préparation de leurs épreuves restantes du baccalauréat, aujourd'hui nombreux sont ceux qui évoquent les secondes au regard de leur parcours de troisième difficile et afin de  favoriser leur intégration au lycée, certains parlent aussi des premières pour une meilleure préparation aux épreuves anticipées de français. Les élèves de Terminale ne sont plus prioritaires depuis l'annulation des épreuves de spécialités du mois de mars et le passage en contrôle continu. 

Le chef d'établissement mais aussi l'ensemble des personnels de direction et éducatifs, regrette d'avoir à faire subir depuis presque deux ans ces adaptations aux élèves et de les exposer à certains manques. Cette situation constitue une de leur préoccupation mais il n'existe pas de solutions idéales, c'est-à-dire où les contraintes sanitaires n'auraient pas d'incidence sur la qualité de la scolarité des élèves.

Lorsque des jours plus cléments sur le plan météorologique seront de retour, il pourrait être possible de proposer une alternance des niveaux en présentiel sur une semaine en instaurant des aménagements sur le plan des repas : par exemple des paniers repas en plus des repas au self. Ces derniers pourront donc manger dans la cour ou dans les alentours de la cité scolaire si possible. En effet, ce qui reste très problématique sur le plan des zones de contamination c'est le self et les couloirs. Dans les couloirs les élèves respectent peu les sens de circulation qui ont été mis en place et l'établissement ne dispose pas d'un nombre suffisant de surveillants pour les faire respecter. 

 

Monsieur PONCHARAL, élu de Brive, propose la mise en place d'une restauration ambulante en extérieur. Toutefois la mise en place de ce dispositif nécessite des moyens humains dont ne dispose pas forcément l'établissement ainsi qu'une gestion rigoureuse de la réservation des repas pour éviter le gaspillage. En effet, lorsque tous les élèves sont présents, cela représente 1300 repas chaque midi. Pour pallier ce manque sur le plan du personnel, l'élu évoque une distribution par la cuisine centrale ou des ventes libres.  Cette proposition nécessite une réunion de ces différents partenaires pour évoquer de manière précise les paramètres et les obligations de chacun afin de déterminer ce qui est de l'ordre du possible.

De nombreux chefs d'établissements s'interrogent sur la différence qui existe, sur le plan du respect des consignes nationales ,entre les établissements publics et les établissements privés et les inégalités qui en résultent sur le plan de la scolarisation en présentiel des élèves.

Préparation rentrée 2021 

Chaque année l'établissement reçoit de la part du rectorat une dotation appelée Dotation Globale Horaire. En amont, la structure prévisionnelle - le nombre de classe par niveau - est définie au cours d'échange entre la direction de l'établissement et le Rectorat. La rectrice a arrêté 11 classes par niveau.

Pour l'année 2020, les prévisions pour les secondes étaient justes, pour les premières, il y a eu moins d'élèves que prévus et pour les terminales il y a toujours un prévisionnel plus important dans la mesure où il y a des arrivées  d'élèves plus importantes que les élèves qui partent en fin de seconde. En effet, les élèves sont orientés vers le lycée d'Arsonval car leur lycée  n'offre pas de filières en seconde générale, ou en raison des choix d'enseignement de spécialités ou de combinaison des enseignements de spécialités en classe de première.

La seule divergence entre les prévisions de la Direction et le nombre de classe par niveau arrêté par le Rectorat concerne les premières. Les effectifs prévus par l'établissement nécessiteraient  12 classes de première à la rentrée 2021, mais le rectorat en a attribué 11. Ce sera le nombre d'inscrits au mois de juin qui viendra confirmer ou infirmer cette prévision. Pour les terminales, les effectifs peuvent varier en fonction du nombre de redoublants.

Les effectifs de la classe préparatoire restent à 24 élèves.

Dans un premier temps la rectrice avait attribué 1356,83 heures pour fonctionner sur une semaine. Ce volume horaire se décompose en plusieurs postes :

  • des postes budgétaires ou heures postes, qui concernent des enseignants à temps plein ou à temps partiel. Un poste de certifié à temps plein donne 18 heures et un poste d'agrégé donne 15 heures, sauf pour les professeurs d'EPS où un poste de certifié donne 20h et un poste d'agrégé donne 17h. Il est important de rappeler qu'un certain nombre d'enseignants ne donnent pas l'ensemble de leur quotité de travail à l'établissement car ils enseignent sur plusieurs établissements.

  • Des heures supplémentaires années ou HSA dont le nombre est de 159,83. Il y a obligation pour les enseignants d'en accepter 2 mais les enseignants à temps partiel ne peuvent pas en bénéficier. Ces heures supplémentaires viennent souvent en compensation des postes supprimés, ce qui implique que cette charge de travail incombe aux enseignants qui restent en poste. 

 

La Dotation Globale Horaire initiale ne comprenait pas les 29 heures qui avaient été attribuées au titre de la marge rectorale. Cette marge est affectée aux établissements en fonction de leur nombre de classes. Toutefois cette marge est supprimée lorsque l'établissement accroît son nombre de classes. 

Conscient des conséquences dommageables de ce manque sur le plan du fonctionnement pédagogique au sein de l'établissement et donc pour les lycéens, la Direction a interpellé les instances départementales et rectorales. Ces dernières ont finalement concédé à attribuer 10 heures, qui sont des heures postes. Il y aura donc soit création d'un poste, soit augmentation du temps de travail pour un enseignant à temps partiel.  La Dotation Globale Horaire est donc portée à 1366,83 heures. Il y a donc 19 heures de moins par rapport au volume horaire hebdomadaire dont dispose le lycée cette année.

Si nous comparons cette DGH à celles obtenues aux mois de janvier durant les trois dernières années, c'est la plus importante :

  • 2018 – 1345 heures

  • 2019 – 1300,54 heures

  • 2020 – 1347,63 heures

 

Donc sur le plan des ressources humaines, il y aura plus d'enseignants mobilisés au sein de l'établissement pour l'année à venir. Mais il y aura aussi une classe supplémentaire.

Cette dotation, la direction doit la répartir par discipline en fonction des textes réglementaires. L'exercice de la direction réside dans le fait de« ventiler » sur les disciplines et les niveaux de classe.

La répartition qui est présentée au Conseil d'Administration a été soumise au Conseil Pédagogique,  diffusée auprès de l'ensemble des enseignants et exposée à la Commission permanente. Aucune de ces instances n'a émis de remarques au sujet de cette répartition pour la modifier. Les contestations concernaient le nombre d'heures de la DGH. 

 

Le vote du Conseil d'Administration concerne la répartition de la DGH et non la dotation et son importance. Mais il est difficile de se prononcer sur cette répartition lorsqu'il y a un désaccord vis-à -vis de la dotation elle-même. 

Monsieur BARRANDE a porté à la connaissance des membres du Conseil d'Administration l'estimation du nombre de groupes d'enseignements de spécialités en première et en terminale. Ce travail est difficile car il faut faire une projection des demandes que feront les élèves et leur famille au mois de juin afin de pouvoir accéder aux projets de chacun des élèves. 

Les données qui ont été prises en compte par la direction pour réaliser cette estimation sont les suivantes :

  • chaque groupe de spécialité de première représente 4 h

  • chaque groupe de spécialité de terminale représente 6h

  • les effectifs des années précédentes pour chacune des spécialités pour chaque niveau, mais le recul est limité dans le temps puisque la réforme est très récente

  • pourcentage d'élèves – discipline par discipline - conservant la spécialité choisie en première, pour son année de terminale.

 

Pour fonctionner, l'établissement doit disposer de 37 groupes en première et de 27 groupes en terminale. Ce prévisionnel appelé Tableau de Répartition des Moyens par Discipline (TRMD) est susceptible de subir des modifications dans le courant du mois de juin en fonction des vœux de spécialités émis par les élèves de seconde et du choix des deux spécialités de terminale fait par les élèves de première mais aussi des nouvelles inscriptions. 

 

La création de ce Tableau de répartition des moyens par discipline réside en la répartition dans chaque discipline, en fonction des besoins, les heures postes qui correspondent au nombre de postes implantés dans l'établissement ainsi que les besoins en heures supplémentaires. 

Lorsque les besoins dépassent les apports, la direction examine s'il y a nécessité de mettre des heures supplémentaires. Si les heures supplémentaires permettant de couvrir les besoins horaires sont trop importantes pour une discipline, le Direction est amenée à proposer soit la création d'un bloc de moyen provisoire, soit de proposer au niveau du rectorat l'ouverture d'un poste. Ce choix est déterminé principalement par le caractère provisoire ou non du poste. Par exemple, l'année dernière, en SVT, il y avait la possibilité de créer deux postes. L'établissement a fait le choix de créer un poste et pour le deuxième, de demander un bloc de moyen provisoire. Ce choix s'est avéré pertinent puisqu'au regard des besoins pour l'année prochaine, un seul poste est maintenu. Si les deux postes avaient été créés, un des enseignants aurait dû partir.

Ce travail prévisionnel permet à la Direction de disposer d'éléments objectifs qui constituent des arguments pour rendre les demandes de moyens supplémentaires qu'elle adresse auprès du rectorat, recevables. 

 

Au cours des années précédentes, la Direction a demandé au rectorat des moyens supplémentaires pour par exemple permettre le fonctionnement des groupes de spécialités. Elle procède donc aux réajustements nécessaires au cours des mois de juin, juillet, août et même septembre. 

Quelques précisions sur cette répartition par discipline 

  • Un enseignement de latin et de grec à chaque niveau

  • Un groupe de théâtre à chaque niveau

  • Deux groupes (soit environ 40 élèves) d'enseignements optionnels cinéma pour permettre aux élèves de seconde, suite à la disparition des enseignements d'exploration de seconde, de découvrir cet enseignement, ce qui leur permettra de choisir en connaissance de cause cette spécialité en première

  • Dédoublement hebdomadaire en lettre en première de manière à privilégier la préparation de l'épreuve anticipée de français

  • Maintien de l'option Droit et enjeux du monde contemporain

  • En mathématiques : dédoublement d'1 heure pour chaque classe de seconde et pour tous les groupes de spécialités de première et de terminale et en terminale maintien d'un groupe de math expert et de deux groupes de math complémentaire. Cette répartition peut évoluer en fonction des options exigées par certaines formations de l'enseignement supérieur pour la rentrée 2022-2023

  • Deux groupes d'enseignements optionnels arts plastiques en seconde pour permettre aux élèves de seconde, suite à la disparition des enseignements d'exploration de seconde, de découvrir cet enseignement, ce qui leur permettra de choisir en connaissance de cause cette spécialité en première

  • Diminution du nombre de groupes d'option théâtre mais également  d'anglais et d'espagnol pour les secondes et les premières afin de pallier ce manque de 19 heures. 

 

Les différents tableaux présentés indiquent qu'une partie importante des enseignements est assurée par des heures supplémentaires et qu'il y a une réduction de 13h des heures budgétisées pour des postes d'enseignants supplémentaires.

 

Cette présentation a donné lieu à la rédaction de deux motions :

- celle présentée par  les enseignants et l’association de parents d’élèves UNAAPE et dont le contenu vous est mentionné ci-dessous

(Motion)

- celle de l'association des parents d’élèves FCPE qui vous est présenté ci-dessous 

(Motion 2)

 

Vote :

Après la présentation de ces motions, le vote a pris place. 

12 personnes se sont prononcées contre cette répartition horaire, 1 personne s'abstient et 6 personnes ont voté pour. La répartition a donc été refusée.

Pour cette raison, le Chef d'établissement va convoquer un nouveau conseil d'administration où sera présenté et soumis au vote une nouvelle proposition de répartition. Si ce deuxième vote conduit une nouvelle fois à un refus d'adoption de cette répartition, le code de l'éducation oblige le Proviseur à entériner (arrêter)  la répartition proposée par la Direction pour permettre à l'établissement de fonctionner. 

Décisions budgétaires modificatives :

Elles sont présentées par Madame GAUCHET, l'adjointe gestionnaire.

L’établissement a reçu une dotation complémentaire de fonctionnement de la part du Conseil régional Nouvelle Aquitaine. Cette dotation n'étant pas affectée à des dépenses, la direction de l'établissement présente aux membres du Conseil d'administration une proposition quant à la répartition des fonds de cette dotation. Cette proposition affecte les fonds sur deux services :

    -Le service OPC (opérations en capital), qui sert lors de l'acquisition de biens dont le montant est supérieur à 800€ hors taxe.

    -Le service ALO, service de fonctionnement et de logistique, pour acquérir du matériel pédagogique mais aussi pour le fonctionnement général de l'établissement.

Il n’y a pour l’instant pas eu de réflexion pour déterminer les achats qui pourront être faits avec ces fonds qui seront disponibles pour l'année 2021. Afin d'allouer ces fonds,  la direction va attendre que des besoins soient portés à sa connaissance. 

Cette décision budgétaire modificative a été votée avec 18 votes pour et une abstention. 

 

Contrats et conventions :

            1- Convention 

Le conseil a voté une convention de partenariat entre l’établissement et la Nouvelle Aquitaine pour l’organisation du Nouveau Festival. 

Ce festival qui se déroulera normalement à Sénon les 19 et 20 mai prochains, en présentiel, est un moment de convivialité pendant lequel des élèves présentent leurs projets dans diverses catégories (artistique, scientifique, engagement citoyen, etc.,) à d’autres élèves et à des professionnels. Il s'agit pour eux de venir mettre à l'épreuve leurs capacités, leur savoir, leur savoir être et leurs compétences. 

Par ce festival, la Région souhaite mettre en lumière des projets de lycéens.

Un élève de première du lycée d’Arsonval, Pierre Loup TOURBIER DEXET souhaite s'inscrire à ce festival pour  présenter son projet  scientifique: envoyer une nacelle équipée de deux caméras dans l’espace pour recueillir des images de la Terre. Le décollage est prévu pour le mois d'avril ou de mai si toutes les conditions sont réunies.

 La nacelle Androïde du projet Star-Way décollera depuis un pré situé à Super Besse dans le Puy de Dôme. La nacelle devrait atteindre 40 km d’altitude deux ou trois heures après et survoler la Terre depuis la stratosphère afin de prendre des images de la planète bleue. A l’intérieur de la nacelle se trouveront deux caméras ultra-résistantes et sophistiquées embarquées, « un processeur pour recueillir des données, une balise GPS ou une balise de radio amateur » et deux membres d’équipage. Il s'agit de deux Playmobil® répondant aux prénoms de Bill et Samantha. La nacelle, d’environ 600 grammes, sera tractée par un ballon en latex naturel rempli d’hélium. 6M3. 

Pour construire son projet, cet élève a utilisé ses connaissances en physique et en mathématique et il bénéficie de l'aide de partenaires internes à l'établissement (Mr DELOLME, professeur de physique) mais également de professeurs issus du corps universitaire (Université Clermont-Auvergne et Cambridge). 

Afin de pouvoir financer son projet, il a besoin de fonds. La ville de Brive participe ainsi que des entreprises de Brive et de Tulle. Celles-ci travaillent sur la création d'un réseau de connexion écologique « LAURA ». Certains objets connectés avec ce réseau seront présents dans la nacelle.

Pierre-Loup a également créé une association pour soutenir son projet.

L'établissement a donc choisi de soutenir et d'accompagner cet élève de 16 ans pour lui permettre de concrétiser son projet . La participation à ce festival s'inscrit dans cette démarche. S' il y participe, il sera accompagné par 4 des membres de son association. 

Sa participation à ce festival lui permettra de faire connaître son projet au-delà du lycée et de la ville de Brive pour trouver de nouveaux partenaires.

Cette inscription est votée à l'unanimité par le Conseil d'Administration.

            2- Contrat

Il s'agit d'un contrat de 36 mois avec Orange Business pour une carte M2M pour l’ascenseur de l’aile C. Cette carte servira en cas d’urgence à activer un appel pour mettre en relation directement la ou les personnes présentent dans l’ascenseur en panne et une personne chargée de s’occuper de la maintenance de cet appareil. 

Comme ce contrat va au-delà d'un an, la Direction est obligée de le soumettre au vote du Conseil d'Administration.

 Le Conseil d'Administration a adopté ce contrat à l’unanimité.

Questions diverses :

        Questions des représentants du personnel enseignants :

Pourquoi le nombre de cas confirmés COVID-19 dans la cité scolaire n’est-il plus systématiquement signalé à l’ensemble des personnels ?

Lorsqu’un cas COVID-19 est signalé à l’ensemble des personnels, c’est qu’il y a des personnes cas contacts dans l’établissement. Si cette personne n’a aucun cas contact dans l’établissement, il n’y aura pas de message pour en informer le personnel. C'est pour cette raison que l'établissement n'a pas informé la communauté éducative des derniers cas d'élèves testés positifs.

        Questions UNAAPE :

A la lecture de l’article paru dans La Montagne, les parents se sont indignés. Comment proposez de répondre à leurs inquiétudes ?

Le fait qu’il soit mentionné que les élèves de seconde soient en présentiel résulte d’une erreur de la journaliste.

La demande de cet article dans La Montagne émane du DASEN. La Montagne voulait rencontrer des professeurs et un chef d’établissement pour que ces derniers racontent comment se déroulaient les cours sur un lycée. Ce qui est déclaré par les deux professeurs dans cette interview est leur réalité. Aussi s' il y a des manquements pour certains élèves, Monsieur DELARBRE demande à ce que ces derniers soient portés à sa connaissance. Ce qui a été demandé par le Ministère de l'Education Nationale, c'est que les élèves en présentiel aient cours et que ceux qui se trouvent en distanciel aient du travail en autonomie. 

A la lecture de l'article, les parents ont éprouvé un décalage avec ce qu'ils vivent au quotidien : désœuvrement des élèves au cours des temps en distanciel. Il est également mentionné dans l'article que lorsque les élèves reviennent en présentiel, ils ont tous acquis  les notions. Le témoignage de nombreux parents auprès de représentants de l'UNAAPE ne vont pas dans le sens de cette réalité.  

L’établissement reconnaît, comme c'est également le cas sur un plan national, que les élèves et les parents sont inquiets par rapport aux difficultés rencontrées pour l’enseignement en distanciel. Toutefois l'institution scolaire ne veut pas porter la responsabilité de toutes les conséquences de cette crise inédite puisqu'elle même fonctionne sur un mode « dégradé ». La remarque du chef d’établissement sur l’autonomie, se fonde sur le constat suivant : il considère que les élèves de Terminale, chacun avec ses moyens et ses possibilités, devraient se saisir de cette offre d'autonomie dans le travail scolaire liée à l'organisation pédagogique mise en place au regard de la situation sanitaire car c'est celle  qui leur sera demandée dans l'enseignement supérieur. Monsieur DELARBRE souligne que l'autonomie s'acquiert par un travail qui est long et souvent éprouvant. Les parents peuvent apporter leur aide à leurs enfants. Cette autonomie dans le travail se travaille depuis la maternelle, mais certains élèves ne parviennent pas à franchir ce cap, ce qui leur occasionnera des difficultés au cours de leurs études supérieures.

Les professeurs préparent les mêmes séances pour les deux groupes sur deux semaines : cela ne leur libère-t-il pas du temps pour les cours en distanciel ?

La réponse est plus compliquée que cela. Monsieur Baril, professeur de mathématiques, différencie deux plans dans sa réponse. Sur un plan pédagogique, il énonce qu’il ne faut pas confondre l’enseignement distanciel, où les élèves travaillent à la maison, et l’enseignement en visioconférence. Le distanciel est très insuffisant car la majorité des élèves n’ont pas acquis l’ensemble des connaissances ; c'est ce qui justifie que les cours soient dédoublés.  Mais les professeurs n'ont pas pour autant de temps qui se libère, en raison notamment des heures supplémentaires qu'ils doivent assurer. Une enseignante a fait remarquer que « les élèves quand ils sont à la maison, ils ne sont pas à l'école et ne travaillent pas  comme à l'école. » Il y a une demande qui est faite aux professeurs et aux élèves d’avoir une « culture du distanciel » qui n'existe pas et qui n’existait pas il y a 9 mois. De ce fait, il est difficile d'obtenir la perfection, voire même quelque chose de satisfaisant. 

Sur un plan « politique », il y a un sous entendu qui consiste à dire que les enseignants ne travaillent pas ou en font le moins possible dans cette question. Ce positionnement va à l'encontre de « l'école de la confiance » demandé par le Ministre.  Il conclut son propos en disant qu’il faut savoir se faire confiance.  Les parents d'élèves UNAAPE sont également pour l'apaisement, pour que les élèves travaillent dans la sérénité et puissent acquérir le peu qu'ils pourront acquérir cette année. 

Avez vous demandé à la région un budget pour équiper l'établissement pour les visios ?

Il y a pour l’instant peu de recul par rapport aux visios. 

Du côté de la Direction, actuellement des tests de plusieurs matériels sont réalisés : micros d'ambiance, caméras plus larges, nouveaux ordinateurs plus performants et puissants...

En ce qui concerne les visios des enseignants, l’établissement a équipé, en partie, les ordinateurs de caméras et de micros. SI l'établissement n'a pas fait le choix d'un équipement pour tous les postes , c'est parce qu'il  doit préalablement s'assurer du matériel qui sera le plus approprié, performant et facile d'utilisation.

La Région ne s'est pour l'instant pas rapprochée de l'établissement pour effectuer cet équipement de masse. L'implication de la Région dans cet équipement de chaque établissement permettrait d'une part de disposer d'un prix d'achat moins onéreux au regard du volume de la commande et d'autre part, une expertise plus approfondie puisqu'elle s'appuierait sur l'expérience de plusieurs établissements

Il y a cependant eu une acquisition d'une plateforme sécurisée pour des réunions comme les conseils de classe ou les conseils d'administration et, pour effectuer les portes ouvertes de l’établissement, une plateforme qui permettra de les réaliser sous une forme virtuelle. 

Madame Deschamps souligne que certains élèves ne disposent pas du matériel qui leur permette de suivre les enseignements en visio, ce qui favorise donc les inégalités. Cette enseignante s'interroge aussi sur l'intérêt pédagogique que revêt le fait qu'un élève soit devant un écran de smartphone 6 à 8h par jour. De plus, certains élèves ont fait savoir à certains de leurs enseignants qu'ils avaient du mal à suivre les cours en visio et du côté des enseignants, il peut être difficile de répondre aux questions des élèves qui sont en présentiel et ceux qui suivent les cours en visio. Cette modalité d'enseignement présenterait donc des problèmes techniques et humains et favoriserait les inégalités. Pour ces raisons, cette enseignante ne voit pas l'intérêt d'équiper en masse l'établissement de matériel pour faire des visios, ni de développer cette modalité d'enseignement auprès des élèves, excepté dans le cadre d'un confinement complet.

Les enseignants sont maîtres de leur pédagogie, c'est donc l'enseignant qui choisit l'outil qui sera le plus approprié. 

Monsieur POPOFF, représentant des parents d'élèves FCPE, souligne que le programme dans sa totalité ne pourra pas être traité. Il y aura donc des manques. La question porte donc sur la manière dont ils vont pouvoir être récupérés. Mais chacun fait preuve de bonne volonté dans un contexte tendu et complexe.

Monsieur GUERARD, représentant des parents d'élèves FCPE, indique que la visio facilite l'apprentissage des élèves qui ont une mémoire auditive et que pour les élèves de seconde notamment, maintenir un lien grâce à la visio peut avoir son importance. Les inégalités sociales ne concerneraient pas une grande majorité des élèves.

Monsieur BARIL souligne que l'expérience les amène à conclure que lorsque les élèves sont à la maison, ils n'ont pas l'impression d'être au travail. Un enseignant de spécialité pour des terminales, ce qui suppose des élèves engagés et motivés, qui a mis en place des cours en visioconférence a entre 3 et 9 élèves connectés sur les 17 qui se trouvent en distanciel.

Les professeurs ont-ils des formations en informatique d'aide à la mise en place de technique de cours en visio ?

 Il y a déjà des formations pour les enseignants mises en place par le CNED ou d’autres organismes. L’établissement n’a pas mis en place des formations pour les enseignants pour ne pas avoir à supprimer des cours pour certains élèves. De plus, les besoins de formation diffèrent en fonction des disciplines. En effet, un professeur de lettres ne va pas utiliser la visio comme un professeur de sciences expérimentales. Aussi chaque enseignant se forme par ses propres moyens et en fonction de ce qui lui est nécessaire.  

Monsieur PATARIN indique au membre du Conseil d'Administration que ce travail demandant beaucoup de temps, les enseignants le font en partie sur leur temps personnel. 

Certains outils ont évolué, notamment en ce qui concerne la sécurisation de l'accès aux classes virtuelles pour éviter des intrusions intempestives de personnes extérieures qui venaient perturber les cours. C'est le cas de la classe à la maison du CNED avec la création d'une salle d'attente où les élèves doivent d'identifier. 

Depuis le début de la crise sanitaire, aucune commission n'a été réunie, pourquoi ?

L'équipe de Direction est mobilisée à 100% pour organiser le quotidien. L’épidémie de COVID-19 a mis un point d'arrêt à des projets élaborés lors de certaines commissions. Il y a un manque de temps pour les réunir en raison des nombreuses injonctions qui sont faites à l'établissement et qui parfois sont modifiées une fois que le travail pour y répondre est terminé.

Toutefois, le chef d'établissement regrette de ne pouvoir réunir ces commissions autant de fois qu'il le faudrait.

Est-il possible qu'en début de conseil de classe, le président présente parents, élèves et professeurs ?

Le proviseur présente ses excuses aux membres des conseils de classe pour ce manquement lors des conseils de classe du premier trimestre.  Les présidents des conseils de classe s'engagent à faire cette présentation à l'avenir.

Avez vous plus d'infos sur le Grand Oral ? Comment va t-il être préparé ?

L’établissement ne possède pas encore toutes les informations. L'établissement dispose des informations d'ordre réglementaire : définition de l'épreuve, fonctionnement des différentes phases , barèmes. Ce qui reste à construire, c'est la manière dont le jury va évaluer chacune des parties avec des grilles de notation plus détaillées. Des questions persistent également sur le plan de la manière dont les élèves vont être préparés ainsi que celle du déroulement de l'épreuve mais aussi des supports qu'ils vont pouvoir utiliser. 

Le texte actuel, disponible sur eduscol, stipule que l’élève se tiendra devant deux professeurs dont un devra obligatoirement être d’un enseignement de spécialité qu’a choisi l'élève. De nombreuses interrogations  persistent, car le texte ne mentionne pas si l’élève est évalué sur le fond ou bien la forme, ou si l'évaluation porte sur ces deux dimensions. Cette précision est importante car elle détermine le choix des enseignants qui composeront le jury. Sachant qu’il y a 30 combinaisons d’enseignements de spécialités possibles, il faudrait 30 jurys différents et ensuite déterminer devant quels élèves il sera pertinent de les convoquer. Il faut savoir qu'il y aura 400 élèves qui vont composer. Ce travail d'organisation qui a aussi de l'incidence sur l'évaluation, est donc conséquent.

Sur le plan de la préparation, il y a un référent pour chaque classe de Terminale pour le Grand Oral. Ces personnes ont été formées en début d'année par Mme Champougny. Ce temps de formation s'est déroulé sur des heures supplémentaires dédiées, demandées par la Direction. Mme Champougny a fait des stages au niveau académique pour pouvoir à son tour donner des repères à ses collègues et les guider. Mme Mognard, avec les professeurs principaux, va intervenir auprès de chaque classe de Terminale pour essayer de sensibiliser les élèves à certaines techniques  pour l'oral. Les professeurs de spécialités assurent aussi cette préparation auprès de leurs élèves. Les professeurs essayent de favoriser au maximum la prise de parole. 

Une autre difficulté c'est qu'en raison du plan sanitaire de l'année dernière, ces élèves ne se sont jamais présentés à une épreuve orale et n'ont donc pas bénéficié de la préparation de l'oral du bac de français en première. Aussi cette épreuve orale suscite un niveau élevé de stress chez les élèves de Terminale. Ce stress est majoré par le terme de « Grand Oral ». l

Le chef d'établissement est vigilant à  ce que la Direction et les enseignants ne transmettent pas leurs inquiétudes quant à cette épreuve, aux élèves. En effet, ces derniers ont suffisamment de stress. 

Pour certaine classe de Terminale, la préparation de cette épreuve s'est matérialisée d'une part, par une formation en demi groupe de 3 heures, portant sur ce en quoi, consistait cette épreuve et d'autre part, par un entraînement à une prise de parole de 5 minutes , sans notes, en petit groupe (5 à 6 élèves), avec un retour des camarades sur l'ancrage dans le sol, la respiration, la gestion du stress.... 

 

Est-il possible que les professeurs principaux de terminale relaient à leur classe les infos sur Pronote concernant les présentations faites par les facs ou les écoles, l'initiation à la lettre de projet,… ? 

Nous pensons que les PP ont un rôle capital pendant cette crise sanitaire pour les élèves. 

En ce qui concerne la lettre de projet de formation motivé, l’établissement a mis en place grâce au travail  effectué par Madame GIMENEZ et l'intervention de l'association E.G.E.E. (constituée par de chefs d'entreprise retraités ou encore en activité) une session de formation pour aider les élèves dans cet exercice de la lettre de motivation et du C.V. pour Parcoursup. Cette formation se déroulera un mercredi après-midi.

En plus de cela, le Direction de l'établissement relaie  aux professeurs principaux, à la professeur documentaliste, aux CPE, toutes les informations qui émanent du supérieur. Une professeure a créé un mur d’informations où elle publie une multitude de ressources et Madame BEZANGER les publie sur Pronote. Si ces temps d'information avaient lieu sur des temps d'enseignement, cela viendrait réduire les  temps de cours de manière trop conséquente dans la mesure où chaque élève a un projet différent. C'est donc aux élèves à faire la démarche d'aller se renseigner à l'aide de ces deux supports. 

Certains enseignants mettent ces informations sur l'ENT. 

Ajouté à cela,l'établissement a mis en place les « midi-deux de l’orientation ». Ces midi-deux sont des moments de rencontre  entre les lycéens qui le souhaitent et des facultés et des professionnels venus présenter des formations, que l’établissement trie pour présenter aux élèves les plus pertinentes. Mais le nombre d'élèves est trop souvent peu élevé.

Le terme psychologue renvoie pour beaucoup à ceux de maladie mentale, de folie, ce qui traîne souvent le recours à ces professionnels par les jeunes. Les enseignants, les CPE, les surveillants sont à l'écoute des élèves et constituent des personnes ressources pour eux. Un accompagnement par la psychologue scolaire, par exemple, pourrait les aider à développer des compétences qui permettraient à chaque élève d'appréhender ses difficultés.

 

Pouvez vous demander au rectorat un budget exceptionnel pour avoir les moyens d'accompagner ces élèves ?

L'établissement ne dispose pas de moyens pour recruter et sélectionner de nouveaux psychologues. C'est au Rectorat que revient cette responsabilité.

L'établissement possède déjà deux psychologues scolaires qui ne sont pas tout le temps au lycée. 

Lorsqu'un mal être est repéré chez un élève, des dispositifs sont mis en place. Il peut s'agir soit du « groupe de prévention contre le décrochage scolaire » soit d'une écoute qui peut relever de la psychologue, d'une infirmière ou d'un CPE.

 Les délais de prise en charge sont également liés au faible nombre de professionnels dans le domaine de la pédopsychiatrie sur le ville de Brive.

Le « groupe de prévention contre le décrochage scolaire » est composé de la Direction, des CPE, de l'infirmière scolaire, d'une psychologue scolaire et de l'assistante sociale. Ce dernier se réunit toutes les deux semaines et s'attache à examiner les problématiques des élèves en difficultés qui sont remontées soit par les enseignants ou les surveillants ; ceci afin d'essayer de trouver les meilleures solutions (aides ou professionnels)  pour ces élèves. 

Les CPE et les AED ont aussi créé un autre groupe, celui des experts d'Arsonval . Ce dernier a vu le jour fin 2020 au sein de l'établissement. Ce groupe est constitué d'élèves volontaires disposant de facilités dans certaines matières qui peuvent être mis en contact avec d'autres élèves en difficultés demandant de l'aide dans une ou des matières, pour les aider. Mais il manque d'élèves experts au regard des demandes.

L'établissement essaie de trouver le maximum d'aides possibles pour les élèves, malgré les limites. Les élèves peuvent également être orientés sur la Maison des Adolescents, si il est estimé que ce lieu peut leur venir en aide. 

Il n'y a pas de honte à se faire aider, et ce d'autant plus que la situation actuelle est anxiogène. 

Pouvez vous nous faire un rapide point travaux ?

 

Ces travaux initialement prévus pour une durée de quatre ans, se feront sur une période plus longue en raison d'une part de la situation sanitaire et d'autre part, car certaines entreprises se retrouvent en difficulté. 

 

Les travaux de l'aile C sont pratiquement terminés et la Commission de sécurité a émis une avis favorable pour l'utilisation des locaux. Seul l'escalier qui est au croisement des différentes ailes n'est pas terminé, mais il peut être utilisé dans le cadre d'une évacuation. Des mises aux normes sont toujours en cours.

 Le RDC de l'aile C est composé d'un hall d'entrée qui est une salle d'exposition où il y a des éclairages spécifiques, des bureaux de l'assistante sociale et de la psychologue scolaire, d'une salle de convivialité pour les personnes qui souhaiteraient amener leur repas et déjeuner dans une salle, de l'infirmerie, les deux foyers – celui du collège et du lycée – qui sont séparés par une cloison amovible, une salle informatique et une salle dédié aux ULIS. Il y a également un ascenseur pour des personnes rencontrant des problèmes de mobilité temporaires ou permanents. Au premier étage, il y a 6 classes banalisées, c'est à dire non dédiées à des enseignements spécifiques, mais aussi la classe de musique. Au deuxième étage, se trouvent le pôle CPES avec deux salles de classe communicantes et une salle informatique, mais aussi trois salles d'arts plastiques - deux pour le lycée et une pour le collège, une salle informatique et un labo photo. Les couloirs sont équipés de protection en soubassement et il y a eu une mise au norme des éclairages mais aussi des aménagements dédiés aux élèves en fauteuil roulant dans les salles de classe.

Le mobilier a bien été livré et les agents d'entretien terminent le déménagement du matériel des salles spécialisées.

 

Sur cette aile, il n'y a pas de création de nouveaux sanitaires, ni d'extension des sanitaires existants. Ce sera sur l'aile D que vont être créés de nouveaux sanitaires. 

 

L'aile D va être mise en travaux au mois de mars 2021 jusqu'en novembre 2021. En novembre 2021, les travaux de l'aile E (internat) débuteront et devraient se terminer en 2022. Les travaux continueront avec l'aile A où se trouvent les logements de fonction. 

 

Durant l'été, les deux bureaux de la vie scolaire – collège et lycée - ont été séparés et l'accueil positionné de manière à bénéficier d'un angle de vue plus large et d'une place centrale.

 

Le chef d'établissement tient à remercier les agents qui, durant l'été, ont fait preuve d'adaptation et de rapidité mais également œuvré dans des conditions parfois difficiles (poussière) pour que tout soit opérationnel à la rentrée de septembre.

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